Quand une personne est victime de viol, elle peut être repérée de plusieurs façons. Soit elle dépose plainte à la police ou la gendarmerie, soit elle fait l’objet d’un signalement, d’un témoin ou d’une institution par exemple. Dans des cas plus rares, l’auteur se dénonce ou est surpris en flagrant délit. Qu’il s’agisse des classements sans suite, des tribunaux correctionnels ou des tribunaux de grande instance, la plainte représente 75 à 85% des débuts de procédure ; les signalements 10 à 20%.